DONJON MONSTERS
Creve-Coeur

Alexandra… Assassin féroce et sans complexe. Sa vie sentimentale est complexe, mais son coeur appartient désormais à La Chemise de La nuit, même si ce dernier s’est marié.
Alexandra est interviewée par la Gazette d’Antipolis. Elle nous livre sa jeunesse, comment elle est devenue tueuse, comment elle a rencontré les hommes qu’elle aime. Ses blessures et ses combats.

Par TITO, le 1 janvier 2001

3 avis sur DONJON MONSTERS #8 – Creve-Coeur

Cet album était pour moi LA sortie de 2004. J’en attendais énormément. Et je dois avouer certaines déceptions. D’une part la déception de ne pas disposer d’un tirage limité comme cela a été fait pour « Mon Fils le Tueur ». Le trait de Nine l’aurait mérité.
D’autre part, le faux-rythme de l’album. Loin de la flamme qui animait les précédents opus, il y a dans les découpages et la voix off omniprésente une monotonie qui m’a passablement lassé.
Malgré cela, il transparaît énormément de force dans cet album. Force d’un personnage hors du commun, que ce soit au niveau de son histoire ou de sa représentation, en femme désirée et musculeuse, venimeuse et froide, mais sensible et aux nombreuses cicatrices à l’âme.
Les recoupements avec les autres tomes de Donjon sont comme d’habitude délicieux, et le trait si particulier de Nine, faisant de chaque attitude des personnages la suggestion d’une posture théâtrale, sublime un scénario juste correct mais haletant.
Un tome à relire (je dis ça autant à moi qu’à vous), à découvrir et à acheter malgré la déception possible au départ, pour profiter du talent de Nine et d’un sujet hors du commun au nom si bien trouvé : Crève-Coeur…

Par TITO, le 26 janvier 2004

Alors moi aussi j’en attendais beaucoup de cet album, peut-être trop, surtout au vue de la splendide couverture…
Assez rapidement je me suis laissé plus ou moins envouter par l’histoire que je trouve complètement déséquilibrée et finalement assez longue à démarrer, malgré tout le personnage principal est tellement fort et charismatique que je suis resté accroché à ses bottes ! Sfar et Trondheim réussissant à faire de cette histoire trop banal un joli tour de force , même si il manque encore de cette flamme qui me séduisit dans le précédent tome !
Le travail de Nine, que j’adore tellement en temps normal, m’a laissé sur ma faim, c’est du vite fait (dessin et couleur), il ne garde que la substance de son style, ce qui peut déjà être suffisant pour en apprécier la force évocatrice !
Alors on aime où on n’aime pas, néanmoins on ne perd pas son temps à lire cet album, soyez en sur !

Par FredGri, le 7 février 2004

D’habitude , BD au style très…comment dire… hors-norme( ?) je les ferme aussi vite que je les ouvre. Toutefois lorsque j’ai ouvert celui-ci et que je suis tombé sur ce personnage de couleur vert à l’aspect dangereux (par sa grande taille, la largeur de ses épaules, ce long cou terminant par une tête au museau pointu, j’ai tout de suite fait un rapprochement avec Freya Crescent (de final fantasy 9).
En découvrant ce personnage féminin je me suis assez vite attaché . Courage, intelligence, grâce (admettre ses propres limites c’est parfois dur XD) . Son charisme fait d’elle un personnage excellent.
Elle évolue dans un monde cruelle (comme le notre mais en moins caché par moultes embellissemants OC 😉 ) où très jeune elle se rend compte et elle accepte sans honte son mauvais côté, tout en étant à la fois quelqu’un de juste … La fin m’a laissé sur ma faim… (pardon; le jeu de mot était inévitable xD). Chaque volume ayant sa propre histoire… j’aurais bien voulu, à celui-là, une suite.
Et puis le passage sur cette femme souris…
Les autres personnages sont écrasés par l’imposante personnalité d’Alexandra ( Je les ai un peu "zapé" du coup ^_____^; )

Par rinpoo-chuang, le 31 août 2005

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