GIACOMO C.
L'ombre de la tour

Giacomo C. devrait parfois penser à être moins curieux. Cela aurait pu l’empêcher de se trouver dans une mauvaise posture. Le voilà qui risque de se noyer suite dans le piège dans lequel il est tombé en enquêtant sur ce groupe de conspirateurs qui voudraient empêcher une modernisation du mécanisme de l’horloge.
De plus, Parmeno ne peut l’aider vu que lui aussi se trouve en fâcheuse posture…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur GIACOMO C. #10 – L’ombre de la tour

Avec ce tome 10, nous avons droit à la conclusion du diptyque entamé avec L’heure qui tue.

Là encore, peu de temps morts et beaucoup de surprises vont attendre le lecteur au fil de ce récit. Jean Dufaux soigne les nerfs du lecteur avec cette aventure.
Bien sur, Giacomo ne va pas mourir noyé mais il faut voir qui va le sauver. Nous assistons aussi à la tentative de Mimi, la souris de Giacomo pour tenter de sauver son maître. Ce récit nous offre aussi quelques coups tordus signés De Vere (ou de Giacomo aussi). Le scénariste ne lésine pas non plus sur les duels à l’épée et les scènes d’actions.
Outre le fait qu’il fait revivre Venise par son dessin, Griffo montre aussi son habileté à illustrer de beaux combats à l’épée dans la plus grande tradition du film de genre Cape et d’épée. Griffo aussi se permet de nous montrer comment il représente la gente féminine de façon fort sensuelle et le plus souvent faible devant le Giacomo C.

Ce diptyque comprenant le tome 9 et 10 est une des meilleures aventures de Giacomo C. mais aussi une des plus belles histoires écrites par Dufaux.
Un moment à ne pas rater, je vous le conseille fortement.

Cette oeuvre est paru ue première fois dans la collection Vécu en mai 1999.

Par BERTHOLD, le 7 mars 2009

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